boire un mamouth

Écrire.
L'encre sur le papier me tente enfin. Raconter la musique, la petite chanson que l'on se traîne en tant qu'humain, celle qui, enlaçant le rien, peuvent s'appeler pensées. Écrire. se retrouver face à soi, dans l'instant Et puis des fois, Rien. Le vide. Sale ou poisseux fade et poissons Autour, le chant entêtant, lascif, lassant, des obligations. Écrire. un mur que l'on s'érige toujours les mêmes erreurs horreurs. Le plein. Le vide.

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[clemclem]

Portes lès Valence. Une pensée qui, comme tant d'autres pourrait s'envoler mais que j'ai rattrappé: aller faire un tour sur Internet pour voir enfin vers où m'emmènerait ce fameux lien que tu m'as laissé.

Et quand cette page et ses premiers mots se sont affichés, "Boire un mammouth", une esquisse de sourire sur mes lèvres, un pétillement dans les yeux.

"Boire un mammouth", j'adhère entièrement.

(Au fait un dessin se ballade qq part en France, sur la tablette d'un Corail Téoz, en seconde classe, et deux blaz apposé dessous.)

En bref, agréablement surprise de te "voir" ici. De retrouver cette écriture plaisante alors que j'étais perdu dans le chaos d'un repas familial.

Demain je continue ma mobilité géographique, Montmerle sur Saône, puis Montceau les Mines dimanche. Puis Portes lès valence dimanche encore. Puis Toulouse lundi.

Envie d'écrire encore, mais ne saturons pas l'espace public.

Bises Drômoises. Puis bises de Crew.

ClémClém.